Psychologue à Voiron, je vous accompagne à l’aide de plusieurs outils thérapeutiques et notamment l’Analyse Transactionnelle.

L’Analyse Transactionnelle (AT) a été fondée par le psychiatre américain Éric Berne à la fin des années 1950. C’est un outil thérapeutique puissant. C’est un modèle qui aide à comprendre comment les gens sont structurés psychologiquement. C’est aussi une méthode d’analyse de la communication, des échanges relationnels entre deux personnes ou plus, appelés transactions. C’est par ailleurs une théorie du développement de l’enfant.

La philosophie de l’AT repose sur un certain nombre de principes :

  • Les gens sont OK : ce qui signifie, en AT, que vous et moi avons de la valeur et de la dignité en tant que personnes. Je ne vous suis pas supérieur et vous ne m’êtes pas supérieur. Peut-être à certains moments je n’aimerai pas ce que vous faites, mais j’accepterai toujours qui vous êtes.
  • Tout le monde a la capacité de penser : c’est vous qui décidez de ce que vous voulez dans votre vie et qui en assumez les conséquences. Personne ne peut penser à votre place ni décider de vos choix.
  • Modèle décisionnel : nous prenons des décisions dans notre enfance ; ces décisions ne sont parfois plus valables à l’âge adulte. Chaque fois que nous prenons une décision, nous pouvons la changer ultérieurement. Les gens peuvent changer pour vivre une vie plus épanouie !

 

« Au moment de s’engager dans l’aventure thérapeutique avec un client, le thérapeute est confronté, en premier lieu, à une tâche que l’on pourrait qualifier de primordiale : il s’agit de nouer et d’entretenir une alliance de travail résiliente avec ce client. L’expression « alliance de travail » a été l’objet de beaucoup d’attention et de débats contradictoires dans la dernière décade du XXe siècle, tandis qu’une quantité croissante de recherches sur les résultats de la psychothérapie suggérait que l’approche théorique du thérapeute, en tant que critère de réussite d’une thérapie, était plutôt insignifiante par rapport à l’importance de la qualité de l’alliance thérapeutique. » (Helena Hargaden & Charlotte Sills, Analyse Transactionnelle : Une perspective relationnelle, p.59)